L’année 2018 fut celle du livre. Je n’ai même pas pris le temps de faire un bilan de l’année 2017 ! Ce fut à la mesure de l’intensité des efforts investis qui m’ont d’ailleurs causé des douleurs musculaires aux bras ! Ce n’est qu’en novembre que j’ai pris une pause… pour écrire mes trois seules chroniques de l’année. Bref, même si cela n’a pas trop paru en 2018, j’aime écrire 🙂
Concernant le livre, il devrait théoriquement être publié en 2019, mais les délais sont très longs dans l’édition, alors… Il faut dire aussi que des rebondissements ont retardé le processus.
Mon premier choix quant à la formule d’édition a pendant longtemps été d’y aller « à compte d’auteur ». Ce n’est pas de l’auto-édition. Le principe ici est que vous payez un éditeur professionnel pour un travail d’édition conventionnel, mais à la différence de cette dernière formule vous gardez vos droits d’auteurs. De fait, c’est le petit « hic » de l’édition : vous devez céder vos droits d’auteurs. C’est-à-dire que le livre sur lequel vous vous êtes investi ne vous appartient plus. Ce qui est quelque peu agaçant, si je peux dire. Mais il y a aussi un petit « hic » de publier à compte d’auteur.
Il est coûteux, mais raisonnable de payer pour un travail d’édition professionnel. Quant à l’impression, elle ne coûte presque rien (même au Québec). La technologie a évolué de telle façon qu’il est possible d’avoir une stratégie « je vends un livre, j’imprime un livre ». Pas d’inventaire. L’écueil est la distribution. Lire la suite