Commentaire

Bientôt dans une forêt près de chez vous : des aménagistes imputables — 4 commentaires

  1. Merci pour ce texte M. Alvarez.

    En ce qui a trait au « copier-coller » du dernier paragraphe extrait du communiqué de l’Ordre de 2017, vous avez vu juste avec votre œil de lynx. Pas de cachette, ça demeure la meilleure façon d’expliquer la chose. Au plaisir de vous lire encore…

  2. Depuis sa fondation en 1921, L’OIFQ (désigné par la Corporation et avant l’Association des ing.f. du Québec) a pris position à maintes reprises pour que l’aménagement forestier soit faite de manière à intégrer l’ensemble des ressources du territoire. Et que la responsabilité de cet aménagement soit confiée à une équipe de professionnels et d’experts dédiés à cette tâche et en mesure d’assurer l’intégralité et la cohérence des activités de planification dans le respect en visant l’atteinte des objectifs gouvernementaux. Plus récemment, ceci s’est traduit par la promotion par l’OIFQ du concept d’aménagiste désigné. Ceci ne devrait pas être interprété comme le souhait d’un retour aux concessions, ni de l’application d’un modèle unique partout au Québec. Il s’agit plutôt de permettre aux acteurs régionaux et locaux de définir leur propre modèle de gestion collaborative et participative, encadré bien entendu par des balises provinciales. Le terme « acteurs » se veut donc large et inclusif.

    • Je ne crois pas qu’il y ait quelque chose dans vos communiqués qui suggèrent que vous appuyez un retour aux concessions forestières 😌

      Quant à moi, j’aime utiliser cette référence, car il y avait du très bon travail d’aménagement forestier qui s’y faisait. Et cela était dû aux valeurs mêmes de proximité entre aménagistes et forestiers dont vous faites la (juste) promotion. Mais les concessions forestières sont bien mortes. Il faut que les responsabilités d’aménagement soient locales, mais aussi dans un contexte « public ». Sinon, c’est tout simplement invendable.

      Merci pour les précisions : )