
Auteur: Hall J, U.S. Fish and Wildlife Service [domaine public], via Wikimedia Commons
J’ai deux plaisirs bien particuliers à animer ce blogue. Le premier est de découvrir des enjeux d’aménagement dont je n’imaginais même pas l’existence lors de sa genèse. Le deuxième est d’incorporer un enjeu avec une ou plusieurs de mes précédentes chroniques de telle façon qu’il forme un «tout» avec le blogue. Chose rare, cette chronique m’aura permis de combiner ces deux plaisirs! Je vous invite donc à découvrir cette petite chronique «bonheur».
L’enjeu que j’ai découvert: la wildland-urban interface aux États-Unis. C’est à la base un effet de l’étalement urbain qui se trouve à empiéter sur les forêts et à les fragmenter. Rien de bien neuf me direz-vous. Toutefois, tellement de communautés se sont créées aux abords des forêts que le USDA Forest Service a mis en place un programme intitulé Forests on the Edge qui vise à amener tant les individus que les différents paliers de gouvernement à être conscients des enjeux associés à ce milieu de vie et, pourrait-on dire, cet écosystème bien particulier. La Figure ci-dessous permet de visualiser schématiquement à quoi il est fait référence par la wildland-urban interface.